Études de santé : les étapes clés pour réussir dans le supérieur

Études de santé

Chaque année, beaucoup d’étudiants s’inscrivent en études de santé pour rejoindre la filière MMOPK de leur choix. Et chaque année, la désillusion est forte pour la majorité d’entre eux. Faute d’avoir bien abordé les étapes clés pour réussir dans le supérieur, ils prennent du retard dès le début du PASS ou de la LAS. Or, certains check-points sont à ne pas manquer si l’on veut se hisser au-dessus de la concurrence.

L’année de Terminale : une prépa aux études de santé qui ne dit pas son nom

En l’espace de quelques mois, voire semaines, l’étudiant en santé doit abandonner son costume de lycéen pour se glisser dans celui de candidat aux examens PASS et LAS. Une transition difficile à accomplir si elle n’a pas été anticipée.

Sachez cependant que des solutions existent dans la plupart des régions. Pour augmenter ses chances de réussir ses études de santé à Clermont, un lycéen auvergnat peut prendre contact avec Prépa Santé B, le leader local de la préparation aux études de santé.

Différents dispositifs lui sont alors proposés :

  • La Terminale Santé : compatible avec les cours classiques et les révisions du bac, ces cours sont dispensés pendant les vacances ou via des modules en ligne ;
  • Le stage de pré-rentrée : une formation intensive, organisée pendant l’été qui précède l’entrée à l’université.

En s’appuyant sur ces formations, Prépa Santé B permet aux étudiants inscrits à l’UCA de :

  • Maîtriser au moins 30 % du programme de PASS avant le début du mois de septembre ;
  • Découvrir la méthodologie de travail qui paye à l’université ;
  • Se familiariser avec les principes des examens PASS et LAS.

Une étape clé pour réussir dans le supérieur, au regard de l’importante concurrence qui régit la sélection en médecine, en maïeutique ou en pharmacie.

 

Une autre étape clé pour réussir dans le supérieur : le mois de septembre

Vient maintenant la rentrée de septembre. Un moment qui fait la différence entre les étudiants, selon qu’il soit bien ou mal négocié :

  • L’acclimatation à l’université doit être vite digérée : le degré d’autonomie est supérieur, les responsabilités aussi ;
  • Le nombre de notions à maîtriser dès les premières semaines est énorme ;
  • On découvre le stress caractéristique de la vie en première année de médecine.
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Pour braver ces difficultés potentielles, la plupart des étudiants suivent une prépa PASS ou LAS en parallèle. Les ressources sont souvent salvatrices :

  • Des supports rédigés et des cours supplémentaires pour préciser les apprentissages ;
  • Un suivi individualisé par un étudiant plus âgé, pour profiter de son expérience et garder le cap ;
  • Un solide entraînement aux examens ;
  • Des camarades fiables pour réviser ensemble.

réussir supérieur

Conserver la motivation et l’enthousiasme : un défi tout au long de l’année

Mais le vrai moment clé de l’année reste finalement… L’année dans son ensemble. La première année d’études de santé n’est pas une course de vitesse. C’est un marathon dont les plus résistants sortent vainqueurs.

Et les plus résistants sont souvent les mieux organisés. Ceux qui sauront ménager leurs forces tout en mettant en œuvre des pratiques de révision efficaces :

  • Des plages de travail intelligentes, plus ou moins longues selon que l’on souhaite apprendre une nouvelle notion ou simplement bachoter ;
  • Des créneaux dédiés au repos, le corps n’étant pas une machine inépuisable ;
  • L’organisation d’une bonne hygiène de vie, avec suffisamment de sommeil et de sport.

Le premier enjeu pour l’étudiant aspirant aux filières MMOPK est le suivant : éviter le burn-out, par tous les moyens.