La résidence senior demeure une solution lorsque vivre dans son domicile devient une contrainte pour une personne âgée. Mais à quel âge faut-il décider d’aller vivre dans ce genre de logement ?
Qui qualifie-t-on de senior ?
Comme son nom l’indique, ce sont les personnes seniors, n’ayant pas besoin d’assistance permanente, qui rejoignent les résidences seniors. Mais encore faut-il savoir entre quel âge une personne est qualifiée de senior.
De manière générale, les personnes âgées de 50 et 65 ans représentent les seniors. En effet, cela inclut les jeunes retraités. D’ailleurs, n’y a-t-il pas alors d’âge minimum d’admission à une résidence senior.
60 ans, l’âge minimum d’admission à une résidence senior ?
Il ne suffit pas d’être senior pour pouvoir accéder à une résidence senior. De nombreuses résidences fixent un âge minimum de 60 ans pour pouvoir bénéficier de leurs services.
Par contre, d’autres établissements font preuve d’une certaine souplesse. Ils ne déterminent pas d’âge particulier d’accession à leurs prestations. Ils laissent ce choix à leurs futurs résidents ou à leurs proches.
Le moment opportun pour rejoindre un logement senior
Il n’existe pas d’âge idéal pour rentrer dans une résidence senior. Vous le saurez lorsque vivre dans votre demeure ne vous permettra plus de vous sentir en sécurité. De nombreuses résidences seniors laissent cette libre appréciation aux personnes concernées et ne définissent pas ainsi un âge particulier. C’est le cas de Cogedim club indiquant ici ;: https://www.cogedim-club.fr/region/auvergne-rhone-alpes/.
De toute façon, il importe de savoir que le critère d’âge ne suffit pas. L’hébergement dans un foyer senior se trouve subordonné à d’autres exigences.
Les autres critères pour rentrer dans les logements seniors
À la différence d’une maison de retraite ou d’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), les logements seniors imposent l’autonomie des personnes âgées hébergées. En effet, les aînés qui sont placés dans des résidences seniors doivent être autonomes. De même, une bonne santé s’avère également exigée. Les personnes âgées qui y sont accueillies n’ont généralement pas besoin de traitements médicamenteux.
Les aînés souffrant de pathologies quelconque ne sont pas ainsi admis dans ce type d’habitat. C’est-à-dire, les personnes qui requièrent des soins particuliers. Leur situation ne s’adapte pas forcément à une vie en collectivité.
Néanmoins, certaines résidences seniors acceptent d’accueillir les seniors touchés par une perte légère d’autonomie. C’est l’intérêt du Gir ; il permet de connaître le niveau d’autonomie d’une personne. Mais quels sont les intérêts de vivre dans une résidence senior ?
Les avantages octroyés par les résidences seniors
Chaque appartement a été conçu spécialement pour faciliter la vie et le maintien du quotidien des seniors. De plus, ces établissements proposent des services, des activités et des animations intéressantes. C’est le cas du service d’achat ou de laverie.
Aussi, c’est un moyen pour eux de vivre en communauté et de connaître les actualités. Si jamais le senior rencontre des difficultés pour la location, l’État peut lui octroyer des aides telles que l’Allocation personnalisée d’Autonomie (APA) .
Penser la transition : anticiper avant de changer de logement
Au-delà de la question de l’âge, il est essentiel d’envisager une stratégie de transition qui privilégie la prévention des chutes, la domotique, la téléassistance, l’ergothérapie et l’aménagement progressif du cadre de vie. Avant d’opter pour un déménagement, de nombreuses solutions permettent de maintenir l’autonomie : adaptation des salles d’eau, seuils abaissés, rampes et barres d’appui, revêtements antidérapants ou aides à la mobilité. Faire intervenir un ergothérapeute pour une évaluation personnalisée aide à définir des dispositifs techniques et des aides matérielles qui réduisent la perte d’autonomie. L’intégration de systèmes connectés et de dispositifs d’alerte renforce la surveillance sans nuire à l’intimité, tandis que l’aménagement ergonomique favorise le maintien des gestes quotidiens.
Parallèlement, anticiper les aspects administratifs et sociaux simplifie la décision : évaluer la faisabilité financière, réfléchir au soutien des aidants, et préparer des dispositions juridiques adaptées comme le mandat de protection future. Penser en termes de coordination des soins, de réseau de proximité et de participation sociale permet d’éviter l’isolement et d’assurer un continuum entre domicile et structures collectives si le besoin survient. Pour s’informer davantage sur les démarches préventives, les aides disponibles et les bonnes pratiques en matière de maintien de l’autonomie, cap sur cap sur Réussir Sa Vie En Bonne Santé, une ressource utile pour établir un projet de vie sécurisé et adapté aux évolutions de santé.
